Léo le ragondin a écrit:Oui, le filtre déformation verre, puis une petite déformation du type "vague" hors PS afin de casser l'uniformité du 1er filtre.
Quelques fois cela donne de bons résultats, et j'aime bien contrairement aux puristes qui trouvent les filtres Ps mauvais.
Peut-être faut-il les utiliser simplement à bon escient
merci de ton sentiment Racoon
Léo
Là, je partage ton avis totalement.
Les filtres ont aussi une origine NASA ou OTAN et sont d'une puissance rare quand on en connaît l'usage.
Les réappropriations par les photographes sont souvent peu convaincantes.
J'ai l'impression qu'ils ne s'informent pas ou ne suivent lest tutos souvent gratuits à ce propos.
Ou simplement qu'ils oublient de cocher la case aperçu.
De plus, les spécialistes expliquent qu'ils doivent être combinés pour donner de bons effets mais il semble que cela ne fait pas tilt.
J'apprécie beaucoup ton ouverture d'esprit à ce propos et l'humilité avec laquelle tu révèles tes excellentes techniques.
En voici trois, à toute fin, sans doute les connais-tu, que je trouve très intéressantes ;
Pour garder des contours et des couleurs que le flou gaussien brouille : Affichage en pixels réels (toujours pour les filtres) : Filtre -> bruit ~-> médiane ; je commence les tests autour de 82.
Pour révèler des détails : Dupliquer le calque "de synthése" ; sur la copie : Filtre - > divers -> Passe-haut : les analystes de traitement conseille 19,5. Passer ce calque en mode incrustation.
(en fait, on faisait la même chose sur les photos N&B via une solarisation d'une copie du négatif et le très pénible ajustement des deux négatifs sous l'agrandisseur).
Il y en a une troisième qui vient d'être rendue publique à un séminaire sur les analyses d'image à Las Vegas en 2010 et si cela intéresse quelqu'un, je ferai un tuto dessus parce qu'elle est plus longue et surtout paraît illogique.
Tant que j'y suis - et que je m'étends sur un sujet qui me passionne -, Photoshop a introduit dus outils très puissants de façon discrète dans CS5.
Le premier est le grand perfectionnement de l'outil correcteur localisé, qui repose sur des algorithmes très complexes.
La nouvelle version est tellement performante que c'est le seul outil correcteur proposé dans Lightroom 3 (avec une légère variante ).
Le second est un outil correcteur spécial : il recompose l'image.
La formule, décrite par dans les années 1975 par la cybernétique est simple : une donnée se conpose d’information (ce qui est nouveau), d’occurrence (ce qui est reconnu) et de bruit (ce qui parasite).
Si je diminue les parasites (la gestion du bruit d'Adobe Lightroom 3 est un grand bon en avant dans ce domaine), je peux augmenter la probabilité de saisir les bonnes informations en augmentant les occurrences soit en donnant référence à un modèle (intégré déjá dans certains programmes propriétaires d’appareils photos : je lui indique le personnage que je suis et il ne le lâche plus et déclenchera pour un type de sourire déterminé... - on se rend mieux compte de la puissance de ces logiciels dans les programmes d'analyse d'images) , ou par déduction des occurrences rencontrées, comme il est encore limité dans CS 5.
Il s'agit de : sélection flottante approximative (pour donner des occurrences), menu Edition -> Remplir - > Contenu pris en compte (qui dit bien ce qu'il veut dire).
L'opération peut être répétée au fur-et-à-mesure des retouches.
C'est cette fonction qui a permis l'identification de bien des "dépôts camouflés de l'enemi'. Les versions obsolètes tombent dans le domaine publiv.
En espérant ne pas avoir dit trop de choses connues et d'avoir été lassant.