quand tomne la nuit

Quand tombe la nuit, Lolo se faufile dans la pénombre morbide de la ville endormie, guidant ses pas à la seule lueur rouge sang que la lune pâle reflète sur la lame acérée et ensanglantée de sa dague.


Super montage (comme d'hab ma foi ! )

... sa fait peur

tu pourrais faire une affiche de ciné avec ça !!!!!

oui bosser la dedans j aimerais bien

merci d etre passé voir

voila encore une belle loganerie

[quote="Atchoum"]
Quand tombe la nuit, Lolo se faufile dans la pénombre morbide de la ville endormie, guidant ses pas à la seule lueur rouge sang que la lune pâle reflète sur la lame acérée et ensanglantée de sa dague. Elle avance à pas feutrés vers sa victime. Un bref instant la lumière d'un lampadaire éclaire son visage

à suivre. A VOUS

Claude

Quand tombe la nuit, Lolo se faufile dans la pénombre morbide de la ville endormie, guidant ses pas à la seule lueur rouge sang que la lune pâle reflète sur la lame acérée et ensanglantée de sa dague.
Elle avance à pas feutrés vers sa victime. Un bref instant la lumière d'un lampadaire éclaire son visage.
Son regard d'acier est fixé sur la nuque gracile de sa victime.
Elle est si près maintenant qu'elle voit quelques cheveux blonds qui s'échappent gracieusement d'un chignon fait à la diable et qui caressent cette peau qui semble si fine, si douce, à l'endroit où le cou nait de l'épaule.
Le doute assaille Lolo, la lame ensanglantée jusqu'alors dressée vers le ciel s'abaisse doucement, comme prise de remord et d'hésitation.


A suivre, AU SUIVANT !

Quand tombe la nuit, Lolo se faufile dans la pénombre morbide de la ville endormie, guidant ses pas à la seule lueur rouge sang que la lune pâle reflète sur la lame acérée et ensanglantée de sa dague.
Elle avance à pas feutrés vers sa victime. Un bref instant la lumière d'un lampadaire éclaire son visage.
Son regard d'acier est fixé sur la nuque gracile de sa victime.
Elle est si près maintenant qu'elle voit quelques cheveux blonds qui s'échappent gracieusement d'un chignon fait à la diable et qui caressent cette peau qui semble si fine, si douce, à l'endroit où le cou nait de l'épaule.
Le doute assaille Lolo, la lame ensanglantée jusqu'alors dressée vers le ciel s'abaisse doucement, comme prise de remord et d'hésitation.
Soudain, un coup part. La détonation résonne comme une explosion. Puis c'est le silence. ...


AU SUIVANT

oui encore!!!


c est quoi cette detonation???

veux savoir la suite

[quote="DiBooTo"]Quand tombe la nuit, Lolo se faufile dans la pénombre morbide de la ville endormie, guidant ses pas à la seule lueur rouge sang que la lune pâle reflète sur la lame acérée et ensanglantée de sa dague.
Elle avance à pas feutrés vers sa victime. Un bref instant la lumière d'un lampadaire éclaire son visage.
Son regard d'acier est fixé sur la nuque gracile de sa victime.
Elle est si près maintenant qu'elle voit quelques cheveux blonds qui s'échappent gracieusement d'un chignon fait à la diable et qui caressent cette peau qui semble si fine, si douce, à l'endroit où le cou nait de l'épaule.
Le doute assaille Lolo, la lame ensanglantée jusqu'alors dressée vers le ciel s'abaisse doucement, comme prise de remord et d'hésitation.
Soudain, un coup part. La détonation résonne comme une explosion. Puis c'est le silence. ...

Une autre explosion, puis encore une autre suivie de crépitements et de lueurs joyeuses. Nous sommes le 14 Juillet 1930. Lolo est toujours là, tapie dans la nuit elle attend une victime.

Quand tombe la nuit, Lolo se faufile dans la pénombre morbide de la ville endormie, guidant ses pas à la seule lueur rouge sang que la lune pâle reflète sur la lame acérée et ensanglantée de sa dague.
Elle avance à pas feutrés vers sa victime. Un bref instant la lumière d'un lampadaire éclaire son visage.
Son regard d'acier est fixé sur la nuque gracile de sa victime.
Elle est si près maintenant qu'elle voit quelques cheveux blonds qui s'échappent gracieusement d'un chignon fait à la diable et qui caressent cette peau qui semble si fine, si douce, à l'endroit où le cou nait de l'épaule.
Le doute assaille Lolo, la lame ensanglantée jusqu'alors dressée vers le ciel s'abaisse doucement, comme prise de remord et d'hésitation.
Soudain, un coup part. La détonation résonne comme une explosion. Puis c'est le silence. ...
Une autre explosion, puis encore une autre suivie de crépitements et de lueurs joyeuses. Nous sommes le 14 Juillet 1930. Lolo est toujours là, tapie dans la nuit elle attend une victime
Enfermée dans un coffre de voiture, le temps lui semble long… Une demi-heure passe, toujours rien. ...

(au suivant!!!)

Quand tombe la nuit, Lolo se faufile dans la pénombre morbide de la ville endormie, guidant ses pas à la seule lueur rouge sang que la lune pâle reflète sur la lame acérée et ensanglantée de sa dague.
Elle avance à pas feutrés vers sa victime. Un bref instant la lumière d'un lampadaire éclaire son visage.
Son regard d'acier est fixé sur la nuque gracile de sa victime.
Elle est si près maintenant qu'elle voit quelques cheveux blonds qui s'échappent gracieusement d'un chignon fait à la diable et qui caressent cette peau qui semble si fine, si douce, à l'endroit où le cou nait de l'épaule.
Le doute assaille Lolo, la lame ensanglantée jusqu'alors dressée vers le ciel s'abaisse doucement, comme prise de remord et d'hésitation.
Soudain, un coup part. La détonation résonne comme une explosion. Puis c'est le silence. ...
Une autre explosion, puis encore une autre suivie de crépitements et de lueurs joyeuses. Nous sommes le 14 Juillet 1930. Lolo est toujours là, tapie dans la nuit elle attend une victime
Enfermée dans un coffre de voiture, le temps lui semble long… Une demi-heure passe, toujours rien. ...
Tout à coup, alors que Lolo commençait à suffoquer, enfermée dans ce coffre, elle entend des pas et deux voix d'homme. Ils approchent de la voiture, ouvrent les portes, montent dans la voiture. Les portières claquent, le moteur démarre, la voiture part en trombe dans la nuit noire.


AU SUIVANT ....

Quand tombe la nuit, Lolo se faufile dans la pénombre morbide de la ville endormie, guidant ses pas à la seule lueur rouge sang que la lune pâle reflète sur la lame acérée et ensanglantée de sa dague.
Elle avance à pas feutrés vers sa victime. Un bref instant la lumière d'un lampadaire éclaire son visage.
Son regard d'acier est fixé sur la nuque gracile de sa victime.
Elle est si près maintenant qu'elle voit quelques cheveux blonds qui s'échappent gracieusement d'un chignon fait à la diable et qui caressent cette peau qui semble si fine, si douce, à l'endroit où le cou nait de l'épaule.
Le doute assaille Lolo, la lame ensanglantée jusqu'alors dressée vers le ciel s'abaisse doucement, comme prise de remord et d'hésitation.
Soudain, un coup part. La détonation résonne comme une explosion. Puis c'est le silence. ...
Une autre explosion, puis encore une autre suivie de crépitements et de lueurs joyeuses. Nous sommes le 14 Juillet 1930. Lolo est toujours là, tapie dans la nuit elle attend une victime
Enfermée dans un coffre de voiture, le temps lui semble long… Une demi-heure passe, toujours rien. ...
Tout à coup, alors que Lolo commençait à suffoquer, enfermée dans ce coffre, elle entend des pas et deux voix d'homme. Ils approchent de la voiture, ouvrent les portes, montent dans la voiture. Les portières claquent, le moteur démarre, la voiture part en trombe dans la nuit noire.
A son réveil, Lolo fut incapable de me dire ce qui l'avait effrayé cette nuit là.

AU SUIVANT ....

Quand tombe la nuit, Lolo se faufile dans la pénombre morbide de la ville endormie, guidant ses pas à la seule lueur rouge sang que la lune pâle reflète sur la lame acérée et ensanglantée de sa dague.
Elle avance à pas feutrés vers sa victime. Un bref instant la lumière d'un lampadaire éclaire son visage.
Son regard d'acier est fixé sur la nuque gracile de sa victime.
Elle est si près maintenant qu'elle voit quelques cheveux blonds qui s'échappent gracieusement d'un chignon fait à la diable et qui caressent cette peau qui semble si fine, si douce, à l'endroit où le cou nait de l'épaule.
Le doute assaille Lolo, la lame ensanglantée jusqu'alors dressée vers le ciel s'abaisse doucement, comme prise de remord et d'hésitation.
Soudain, un coup part. La détonation résonne comme une explosion. Puis c'est le silence. ...
Une autre explosion, puis encore une autre suivie de crépitements et de lueurs joyeuses. Nous sommes le 14 Juillet 1930. Lolo est toujours là, tapie dans la nuit elle attend une victime
Enfermée dans un coffre de voiture, le temps lui semble long… Une demi-heure passe, toujours rien. ...
Tout à coup, alors que Lolo commençait à suffoquer, enfermée dans ce coffre, elle entend des pas et deux voix d'homme. Ils approchent de la voiture, ouvrent les portes, montent dans la voiture. Les portières claquent, le moteur démarre, la voiture part en trombe dans la nuit noire.
A son réveil, Lolo fut incapable de me dire ce qui l'avait effrayé cette nuit là.
Et pour cause, mais je ne l'ai su que bien plus tard, celle à qui je demandais ce qu'il lui était arrivé n'était pas Lolo! C'était son clône!!!
Lolo avait été clônée !
Les deux hommes à la voiture l'avait emmené dans un lieu resté secret et avait fait un clône de Lolo.
Ah, bien sûr, déja depuis longtemps, certains de ses amis lui avait dit: "vraiment Lolo, quand tu veux, tu as une bille de clône", mais là, c'était le clône, pas la vraie Lolo.
Mais où donc était Lolo, la vraie Lolo ???


AU SUIVANT !

Nko a écrit:voila encore une belle loganerie

+1

Quand tombe la nuit, Lolo se faufile dans la pénombre morbide de la ville endormie, guidant ses pas à la seule lueur rouge sang que la lune pâle reflète sur la lame acérée et ensanglantée de sa dague.
Elle avance à pas feutrés vers sa victime. Un bref instant la lumière d'un lampadaire éclaire son visage.
Son regard d'acier est fixé sur la nuque gracile de sa victime.
Elle est si près maintenant qu'elle voit quelques cheveux blonds qui s'échappent gracieusement d'un chignon fait à la diable et qui caressent cette peau qui semble si fine, si douce, à l'endroit où le cou nait de l'épaule.
Le doute assaille Lolo, la lame ensanglantée jusqu'alors dressée vers le ciel s'abaisse doucement, comme prise de remord et d'hésitation.
Soudain, un coup part. La détonation résonne comme une explosion. Puis c'est le silence. ...
Une autre explosion, puis encore une autre suivie de crépitements et de lueurs joyeuses. Nous sommes le 14 Juillet 1930. Lolo est toujours là, tapie dans la nuit elle attend une victime
Enfermée dans un coffre de voiture, le temps lui semble long… Une demi-heure passe, toujours rien. ...
Tout à coup, alors que Lolo commençait à suffoquer, enfermée dans ce coffre, elle entend des pas et deux voix d'homme. Ils approchent de la voiture, ouvrent les portes, montent dans la voiture. Les portières claquent, le moteur démarre, la voiture part en trombe dans la nuit noire.
A son réveil, Lolo fut incapable de me dire ce qui l'avait effrayé cette nuit là.
Et pour cause, mais je ne l'ai su que bien plus tard, celle à qui je demandais ce qu'il lui était arrivé n'était pas Lolo! C'était son clône!!!
Lolo avait été clônée !
Les deux hommes à la voiture l'avait emmené dans un lieu resté secret et avait fait un clône de Lolo.
Ah, bien sûr, déja depuis longtemps, certains de ses amis lui avait dit: "vraiment Lolo, quand tu veux, tu as une bille de clône", mais là, c'était le clône, pas la vraie Lolo.
Mais où donc était Lolo, la vraie Lolo ???
Elle était à l'intérieur de la voiture sous la banquette arrière à cause de cette apocalyptique expérience de clonage.
Maintenant Lolo semble définitivement guéri de la loganerie forumus, mais c'est compter sans le destin, ce facétieux farfadet le Bernard aux mille visages que lolo pris en photo en début de post, la figure burinée par son Eos 450D

(au suivant et bonne fête Bernard)

Merci DiBooto, c'est sympa !


Quand tombe la nuit, Lolo se faufile dans la pénombre morbide de la ville endormie, guidant ses pas à la seule lueur rouge sang que la lune pâle reflète sur la lame acérée et ensanglantée de sa dague.
Elle avance à pas feutrés vers sa victime. Un bref instant la lumière d'un lampadaire éclaire son visage.
Son regard d'acier est fixé sur la nuque gracile de sa victime.
Elle est si près maintenant qu'elle voit quelques cheveux blonds qui s'échappent gracieusement d'un chignon fait à la diable et qui caressent cette peau qui semble si fine, si douce, à l'endroit où le cou nait de l'épaule.
Le doute assaille Lolo, la lame ensanglantée jusqu'alors dressée vers le ciel s'abaisse doucement, comme prise de remord et d'hésitation.
Soudain, un coup part. La détonation résonne comme une explosion. Puis c'est le silence. ...
Une autre explosion, puis encore une autre suivie de crépitements et de lueurs joyeuses. Nous sommes le 14 Juillet 1930. Lolo est toujours là, tapie dans la nuit elle attend une victime
Enfermée dans un coffre de voiture, le temps lui semble long… Une demi-heure passe, toujours rien. ...
Tout à coup, alors que Lolo commençait à suffoquer, enfermée dans ce coffre, elle entend des pas et deux voix d'homme. Ils approchent de la voiture, ouvrent les portes, montent dans la voiture. Les portières claquent, le moteur démarre, la voiture part en trombe dans la nuit noire.
A son réveil, Lolo fut incapable de me dire ce qui l'avait effrayé cette nuit là.
Et pour cause, mais je ne l'ai su que bien plus tard, celle à qui je demandais ce qu'il lui était arrivé n'était pas Lolo! C'était son clône!!!
Lolo avait été clônée !
Les deux hommes à la voiture l'avait emmené dans un lieu resté secret et avait fait un clône de Lolo.
Ah, bien sûr, déja depuis longtemps, certains de ses amis lui avait dit: "vraiment Lolo, quand tu veux, tu as une bille de clône", mais là, c'était le clône, pas la vraie Lolo.
Mais où donc était Lolo, la vraie Lolo ???
Elle était à l'intérieur de la voiture sous la banquette arrière à cause de cette apocalyptique expérience de clonage.
Maintenant Lolo semble définitivement guéri de la loganerie forumus, mais c'est compter sans le destin, ce facétieux farfadet le Bernard aux mille visages que lolo pris en photo en début de post, la figure burinée par son Eos 450D
Et oui, c'est arrivé le jour où mon Eos450D m'a explosé au nez quand, voulant pousser la sensibilité à l'extrème j'ai tourné et tourné la molette pour passer de 1600 Iso à 3200 puis à 6400 puis 12800, c'est à 25600 que.... boum !
Mais dans tout ça, notre Lolo est toujours toujours sous la banquette de la voiture ?
C'est embêtant car j'ai entendu dire qu'une grosse dame de 140 kilos avait pris place sur la dite banquette ! Bon d'accord on a le clône maintenant, mais l'original, notre vraie Lolo, la seule l'unique, elle va être transformée en Lolo crèpe !

AU SUIVANT !

Z'êtes malaldes

Trop fort la photo,j'ai hâte de voir ce que tu réserves pour L'halloween

Quand tombe la nuit, Lolo se faufile dans la pénombre morbide de la ville endormie, guidant ses pas à la seule lueur rouge sang que la lune pâle reflète sur la lame acérée et ensanglantée de sa dague.
Elle avance à pas feutrés vers sa victime. Un bref instant la lumière d'un lampadaire éclaire son visage.
Son regard d'acier est fixé sur la nuque gracile de sa victime.
Elle est si près maintenant qu'elle voit quelques cheveux blonds qui s'échappent gracieusement d'un chignon fait à la diable et qui caressent cette peau qui semble si fine, si douce, à l'endroit où le cou nait de l'épaule.
Le doute assaille Lolo, la lame ensanglantée jusqu'alors dressée vers le ciel s'abaisse doucement, comme prise de remord et d'hésitation.
Soudain, un coup part. La détonation résonne comme une explosion. Puis c'est le silence. ...
Une autre explosion, puis encore une autre suivie de crépitements et de lueurs joyeuses. Nous sommes le 14 Juillet 1930. Lolo est toujours là, tapie dans la nuit elle attend une victime
Enfermée dans un coffre de voiture, le temps lui semble long… Une demi-heure passe, toujours rien. ...
Tout à coup, alors que Lolo commençait à suffoquer, enfermée dans ce coffre, elle entend des pas et deux voix d'homme. Ils approchent de la voiture, ouvrent les portes, montent dans la voiture. Les portières claquent, le moteur démarre, la voiture part en trombe dans la nuit noire.
A son réveil, Lolo fut incapable de me dire ce qui l'avait effrayé cette nuit là.
Et pour cause, mais je ne l'ai su que bien plus tard, celle à qui je demandais ce qu'il lui était arrivé n'était pas Lolo! C'était son clône!!!
Lolo avait été clônée !
Les deux hommes à la voiture l'avait emmené dans un lieu resté secret et avait fait un clône de Lolo.
Ah, bien sûr, déja depuis longtemps, certains de ses amis lui avait dit: "vraiment Lolo, quand tu veux, tu as une bille de clône", mais là, c'était le clône, pas la vraie Lolo.
Mais où donc était Lolo, la vraie Lolo ???
Elle était à l'intérieur de la voiture sous la banquette arrière à cause de cette apocalyptique expérience de clonage.
Maintenant Lolo semble définitivement guéri de la loganerie forumus, mais c'est compter sans le destin, ce facétieux farfadet le Bernard aux mille visages que lolo pris en photo en début de post, la figure burinée par son Eos 450D
Et oui, c'est arrivé le jour où mon Eos450D m'a explosé au nez quand, voulant pousser la sensibilité à l'extrème j'ai tourné et tourné la molette pour passer de 1600 Iso à 3200 puis à 6400 puis 12800, c'est à 25600 que.... boum !
Mais dans tout ça, notre Lolo est toujours toujours sous la banquette de la voiture ?
C'est embêtant car j'ai entendu dire qu'une grosse dame de 140 kilos avait pris place sur la dite banquette ! Bon d'accord on a le clône maintenant, mais l'original, notre vraie Lolo, la seule l'unique, elle va être transformée en Lolo crèpe !
Ouf!!
Lolo a réussit à s'échapper de la voiture , grâce à une trappe dans le plancher, juste sous elle,
Malheureusement pour passer par le trou de la trappe trop petit, Lolo à dû se dévêtir complétement, et la voilà maintement complétement nue , courant dans les champs pour fuir ses Kidnappeurs

AU SUIVANT

Juste bravo !!!

AU SUIVANT !

(alors Bernard tu sèches?)

Non non t'inquiète pas, mais je suis au boulot ...

J'ai des idées et je sais à peu près ce que je vais écrire, mais il faut que je trouve le moment propice !

Ca y est, je suis rentré, donc, j'écris ...


Quand tombe la nuit, Lolo se faufile dans la pénombre morbide de la ville endormie, guidant ses pas à la seule lueur rouge sang que la lune pâle reflète sur la lame acérée et ensanglantée de sa dague.
Elle avance à pas feutrés vers sa victime. Un bref instant la lumière d'un lampadaire éclaire son visage.
Son regard d'acier est fixé sur la nuque gracile de sa victime.
Elle est si près maintenant qu'elle voit quelques cheveux blonds qui s'échappent gracieusement d'un chignon fait à la diable et qui caressent cette peau qui semble si fine, si douce, à l'endroit où le cou nait de l'épaule.
Le doute assaille Lolo, la lame ensanglantée jusqu'alors dressée vers le ciel s'abaisse doucement, comme prise de remord et d'hésitation.
Soudain, un coup part. La détonation résonne comme une explosion. Puis c'est le silence. ...
Une autre explosion, puis encore une autre suivie de crépitements et de lueurs joyeuses. Nous sommes le 14 Juillet 1930. Lolo est toujours là, tapie dans la nuit elle attend une victime
Enfermée dans un coffre de voiture, le temps lui semble long… Une demi-heure passe, toujours rien. ...
Tout à coup, alors que Lolo commençait à suffoquer, enfermée dans ce coffre, elle entend des pas et deux voix d'homme. Ils approchent de la voiture, ouvrent les portes, montent dans la voiture. Les portières claquent, le moteur démarre, la voiture part en trombe dans la nuit noire.
A son réveil, Lolo fut incapable de me dire ce qui l'avait effrayé cette nuit là.
Et pour cause, mais je ne l'ai su que bien plus tard, celle à qui je demandais ce qu'il lui était arrivé n'était pas Lolo! C'était son clône!!!
Lolo avait été clônée !
Les deux hommes à la voiture l'avait emmené dans un lieu resté secret et avait fait un clône de Lolo.
Ah, bien sûr, déja depuis longtemps, certains de ses amis lui avait dit: "vraiment Lolo, quand tu veux, tu as une bille de clône", mais là, c'était le clône, pas la vraie Lolo.
Mais où donc était Lolo, la vraie Lolo ???
Elle était à l'intérieur de la voiture sous la banquette arrière à cause de cette apocalyptique expérience de clonage.
Maintenant Lolo semble définitivement guéri de la loganerie forumus, mais c'est compter sans le destin, ce facétieux farfadet le Bernard aux mille visages que lolo pris en photo en début de post, la figure burinée par son Eos 450D
Et oui, c'est arrivé le jour où mon Eos450D m'a explosé au nez quand, voulant pousser la sensibilité à l'extrème j'ai tourné et tourné la molette pour passer de 1600 Iso à 3200 puis à 6400 puis 12800, c'est à 25600 que.... boum !
Mais dans tout ça, notre Lolo est toujours toujours sous la banquette de la voiture ?
C'est embêtant car j'ai entendu dire qu'une grosse dame de 140 kilos avait pris place sur la dite banquette ! Bon d'accord on a le clône maintenant, mais l'original, notre vraie Lolo, la seule l'unique, elle va être transformée en Lolo crèpe !
Ouf!!
Lolo a réussit à s'échapper de la voiture , grâce à une trappe dans le plancher, juste sous elle,
Malheureusement pour passer par le trou de la trappe trop petit, Lolo à dû se dévêtir complétement, et la voilà maintement complétement nue , courant dans les champs pour fuir ses Kidnappeurs.
Et Lolo courait, courait, quand soudain elle se rendit compte qu'elle portait encore quelque chose sur elle, un chouchou rose bonbon ( ) pour tenir ses cheveux !
L'idée géniale traversa son esprit: Ce chouchou allait devenir une arme redoutable contre les deux hommes qui la pourchassaient.
Lolo s'arrêta net, se cacha derrière un buisson et enlevant le chouchou de ses cheveux, le tendit entre les doigts de sa main gauche pendant que de sa main droite elle rammassait quelques petits cailloux. Le chouchou était devenu un lance pierre, les kidnappeurs pouvaient arriver, Lolo les attendait de pied ferme...


AU SUIVANT !