Année 1906, le moteur à explosion se généralise, il commence à y avoir pas mal de voitures dans Paris, des petits véhicules utilitaires aussi, et bien sûr les transports en commun ne sont pas en reste.
On remplace petit à petit les omnibus hippomobiles par des omnibus motorisés. Mais l'évolution des formes est lente, et c'est quasiment un châssis d'omnibus à chevaux qui est utilisé pour les premiers omnibus motorisés.
Les formes sont quasi les mêmes, seuls le poste de conduite et le moteur ont remplacé le timon et les chevaux.
Celui çi est un Brillié-Schneider P2 de 1906.
J'admire au plus haut point la qualité du travail de restauration des bénévoles passionnés de l'AMTUIR ( Association pour le musée des transports urbains, interurbains et ruraux )
J'ose à peine imaginer à quelle hauteur se trouvait le centre de gravité s'il y avait plus de passagers sur l'impériale que dans la partie basse, les jours de beau temps par exemple.
Aie aie aie les virages serrés !!!
Le pneumatique est déja inventé, mais très loin d'être généralisé. Les roues sont encore des roues à bandages pleins.Les suspensions sont sur ressorts à lame, sans amortisseur.
Les entrailles de la bête. 4 cylindres 4 temps, 35 chevaux à grosso modo 1300 tours/mn. 3 vitesses avant et 1 marche arrière.
Le poste de conduite. Un magnifique tute tute en cuivre en guise de klaxon. Le siège du conducteur est encore tout à fait sur le modèle du siège des cochers de fiacre.
Cerise sur le gâteau, et quelle cerise, il tourne comme rond une horloge malgré ses 106 ans !
Pas de batterie, encore moins de démarreur donc, simplement une magnéto, une manivelle et de l'huile de coude !
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On remplace petit à petit les omnibus hippomobiles par des omnibus motorisés. Mais l'évolution des formes est lente, et c'est quasiment un châssis d'omnibus à chevaux qui est utilisé pour les premiers omnibus motorisés.
Les formes sont quasi les mêmes, seuls le poste de conduite et le moteur ont remplacé le timon et les chevaux.
Celui çi est un Brillié-Schneider P2 de 1906.
J'admire au plus haut point la qualité du travail de restauration des bénévoles passionnés de l'AMTUIR ( Association pour le musée des transports urbains, interurbains et ruraux )
J'ose à peine imaginer à quelle hauteur se trouvait le centre de gravité s'il y avait plus de passagers sur l'impériale que dans la partie basse, les jours de beau temps par exemple.
Aie aie aie les virages serrés !!!
Le pneumatique est déja inventé, mais très loin d'être généralisé. Les roues sont encore des roues à bandages pleins.Les suspensions sont sur ressorts à lame, sans amortisseur.
Les entrailles de la bête. 4 cylindres 4 temps, 35 chevaux à grosso modo 1300 tours/mn. 3 vitesses avant et 1 marche arrière.
Le poste de conduite. Un magnifique tute tute en cuivre en guise de klaxon. Le siège du conducteur est encore tout à fait sur le modèle du siège des cochers de fiacre.
Cerise sur le gâteau, et quelle cerise, il tourne comme rond une horloge malgré ses 106 ans !
Pas de batterie, encore moins de démarreur donc, simplement une magnéto, une manivelle et de l'huile de coude !
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